Le marché immobilier en 2016 a connu une belle reprise en intensifiant le nombre de ventes, il est temps d’utiliser votre Plan d’Épargne Logement ! Bien que le taux baisse depuis février 2016 à 1,50%. Le PEL reste un bon produit de placement immobilier avec ses avantages et ses inconvénients résumés dans cet article.
Le PEL est un plan d’épargne bloquée. L’épargne n’est donc pas disponible, mais produit des intérêts. A l’issue de ce plan, si les conditions sont respectées, le détenteur verra l’obtention de son prêt immobilier facilitée et l’État lui verser une prime. Le Plan Epargne Logement est proposé par les banques conventionnées par l’État et est ouvert à tous, même aux mineurs. Le bénéficiaire du PEL doit verser un minimum de 225 € à l’ouverture puis au moins 540 € par an. Sa durée est comprise entre 4 ans et 10 ans. Le CEL, Compte Epargne Logement, se distingue par une épargne disponible, une durée minimum de 18 mois et une rémunération moindre.
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Baisse du taux du PEL qui concerne seulement les contrats souscrits après le 1er février 2016. Une rémunération de 1,50% contre 2%, pour toute ouverture d’un nouveau Plan d’Épargne Logement, qui se maintient pendant toute la durée du placement.
Le PEL a pour mission première d’épargner pendant une certaine durée, pour ensuite obtenir un prêt immobilier, afin de financer l’achat ou la rénovation de son logement. Ce prêt, accordé à la fin du placement, à un taux préférentiel fixe donné à la souscription. L’épargnant est donc protégé contre toute hausse éventuelle des taux d’intérêts. Seulement voila, le taux des prêts des épargnants du PEL était jusqu’à maintenant bien supérieur à ceux du marché ( 3,20% pour le PEL, contre, en moyenne, 2,20% pour un crédit immobilier classique). Le PEL s’est ainsi transformé en un simple placement d’épargne bien rémunéré.
Ce taux d’intérêt préférentiel accordé par les banques passe de 3,20% à 2,70% dès le 1er février. Taux qui n’est plus très loin de la réalité du marché et surtout un taux qui est garanti à la sortie de l’épargne. Rien ne nous permet d’affirmer que les taux d’intérêts très bas proposés aujourd’hui pour des crédits classiques le resteront.
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